PARIS (Reuters) - Le travail mené par Gilles-Eric Séralini ne permet pas de démontrer la toxicité des OGM mais de nouvelles études financées par des fonds publics doivent être menées car les risques sanitaires ne sont pas assez documentés à l'heure actuelle, ont estimé lundi les experts français. Saisis par le gouvernement, l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) et le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) ont tous les deux conclu que cette étude choc, qui liait le développement de tumeurs à la consommation d'OGM, présentait d'importantes lacunes scientifiques. ...
↧